Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Index des armes du monde

4 avril 2007

MAT 49

 MAT 49 en ordre de combatLe (ou la) MAT 49 est le pistolet mitrailleur de l'armée française depuis le début des années 1950. De construction simple et robuste, sa silhouette est connue de la majorité des Français pour avoir servi lors de la guerre d'Indochine puis d'Algérie.

Sommaire

[masquer]

Présentation [modifier]

A la fin de la Seconde Guerre mondiale, l'Armée française décide de remplacer son MAS 38 en 7,65mm Long dont elle juge la munition trop faible. Elle lance un concours auquelles participent les manufactures d'Armes de Chatellerault (MAC), de Saint-Etienne (MAS) et de Tulle (MAT). C'est le prototype de Tulle (le MAT 1948) qui est finalement adopté en 1949. Ce modèle de conception simple et robuste (construction en tôle emboutie et tir en rafale seulement), équipé d'un logement de chargeur et d'un crosse (trombonne) repliables est produit en série à partir de fin 1949. Désigné officiellement comme Pistolet Mitrailleur modèle 1949, il arme les sous-officiers français. Il en est décliné des variantes pour la Police nationale (Modèle 1949/1954 avec un canon de 36,5 cm et une deuxième détente pour le coup par coup. Modèle équipé parfois d'une crosse en bois) ainsi que pour l'administration pénitentiaire et la banque de France (MLE 1949/54 SB ne tirant qu'en coup par coup : crosse en bois et canon standard). Les ateliers nord-viêtnamiens ont produit une copie en 7,62 Tokarev avec un canon de 26 cm.

Autre particularité de cette arme: l'avant du pontet est un parfait décapsuleur pour bouteille de bière.

Fiche technique MAT 49 [modifier]

  • Munition : 9 mm Parabellum
  • longueur crosse rentrée/déployée : 46 cm/72cm
  • masse de l'arme chargée : 4,175 kg
  • canon : 23 cm
  • chargeur : 20 ou 32 coups
  • cadence de tir théorique : 600 c/min
  • portée pratique : 50 à 100m (oeilleton basculant à deux positions)

Fiche technique MAT 49 nord-vietnamien [modifier]

  • Munition : 7,62mm Tokarev
  • longueur crosse rentrée/déployée : 50 cm/76cm
  • masse de l'arme vide : 3,7 kg
  • canon : 27 cm
  • chargeur : 32 coups
  • cadence de tir théorique : 600 c/min
  • portée pratique : 50 à 100m (oeilleton basculant à deux positions
Publicité
4 avril 2007

Luger P08

Le Luger 1900 Suisse en calibre 7,65 mm Parabellum, ancêtre du P08

Le Luger 1900 Suisse en calibre 7,65 mm Parabellum, ancêtre du P08

Le P08 en calibre 9 mm Parabellum

Le P08 en calibre 9 mm Parabellum

Le Luger Parabellum est l'un des tout premier pistolets semi-automatiques et sans doute le premier ayant connu une large diffusion. Développé en 1898 par Georg Luger à partir du pistolet Borchardt, cette arme sera utilisé tout à la fois au cours de la première et de la Seconde Guerre mondiale. Elle a été produite et mise en service dans plusieurs pays en tant qu'arme réglementaire (Allemagne et Suisse par exemple). En France, elle équipa la Gendarmerie, l'Armée de terre et la Préfecture de Police de Paris, entre 1945 et 1955. Les 5000 armes francaises comme les Walther P38 utilisés dans les mêmes conditions, venaient des Usines Mauser alors occupées.

Le nom Parabellum vient du latin Si vis Pacem, Para bellum, qui veut la paix prépare la guerre. Il sera initialement chambré en 7,65 mm Parabellum, munition directement dérivée du 7,65 mm Borchardt utilisée par le pistolet Borchardt. Son chambrage sera ultérieurement modifié afin de permettre l'utilisation d'une balle d'un calibre supérieur, le 9 mm Parabellum, la munition d'arme de poing la plus répandue depuis. Le deux calibres cohabiteront (l'armée Suisse utilisa le Luger 1900/1906 chambré en 7,65 mm Parabellum, plusieurs fois modifié et remplacé en 1949 par le Sig P210).

Le modèle standard de l'armée allemande est adopté sous le nom de P08 correspondant au modèle de 1908 chambré en 9 mm Parabellum et doté d'un canon de 10,2 cm (simplifié en 1914 devenant le P08/14). Le modèle produit pour la marine (de 1904 à 1918) a un canon de 15,2 cm, 20,3 cm pour celui destiné aux artilleurs. Les modèles commerciaux présentent des canons s'échelonnant de 9,8 cm à 35 cm pour une versions carabine munie d'une crosse détachable.

Le Luger Parabellum, s'il était une arme confortable, précise (dans la limite de la précision d'une arme dépourvue d'instruments de visée réglables) et relativement fiable pour son époque restait chère à produire et capricieuse en comparaison des modèles développés à sa suite tels le Browning Hi-Power ou le P38.

Si le Luger n'a pas subi de modification majeure durant sa carrière, il n'en va pas de même pour la munition de 9 mm Parabellum developpée pour cette arme. L'extension de l'utilisation de cette cartouche pour des pistolets mitrailleurs (comme la MAT 49 en France, la Sten britannique ou le Uzi israélien) aux mécanismes plus lourds a nécessité un chargement plus musclé de la munition. Dans bien des cas, le chargement des munitions actuelles dépasse les capacités du fragile mécanisme "à genoux" du Luger. Avis aux tireurs collectionneurs.

Le Luger Parabellum est définitivement devenu une pièce de collection à partir des années 1950

28 mars 2007

Carabine M4

Calibre : 5,56 mm OTAN
Mode d'action de l'arme: emprunt de gaz, culasse rotative
Dessiné par: Derivé de l'AR-15 d'Eugene Stoner
Longueur du canon: 35,08 cm
Longueur totale: 85,09 cm
Capacité du magasin:
  • un chargeur de 30 coups
  • un chargeur de 100 coups (C-Mag)
Portée effective: 360 m
Portée maximale: 3600 m
Cadence de tir: 700-950 coups/min
Vélocité à la sortie du canon: 905 m/s
Masse sans le chargeur: 2.94 k
Masse avec le chargeur: 3.4 kg

Tir avec un M4 doté d'une aide à la visée Aimpoint M68 CCO (CompM2 pour le constructeur) et d'un lance grenade M-203 de 40 mm

24 mars 2007

Carbine M1/Carbine M1A1

Carabine

L'arme américaine la plus répandue de la Seconde Guerre mondiale n'était pas un fusil, un canon à main, ou même une mitraillette; mieux, c'était une combinaison des trois : la Carbine M1. En 1938, l'armée requiert une arme légère pour une utilisation par les officiers, NCO's, chauffeurs, mitrailleurs lourds, éclaireurs et autres qui trouveraient en un fusil quelque chose d'encombrant. La Carbine M1 entra en service en 1941, 6 millions d'unités furent produites avant la fin de la guerre, et ce par de nombreuses marques américaines totalement étrangères à l'industrie de l'armement telles que Inland, Underwood (machines à écrire) ou IBM pour ne citer que celles-là. Une version pour parachutistes, baptisée M1A1, fut créée par la suite. Elle avait les mêmes caractéristiques que la M1 mais avait l'avantage de posséder une crosse métallique pliante et une poignée pistolet, ce qui facilitait grandement son transport et son utilisation par les paras.

Pour voir un plan du Carbine M1, cliquez ici.

Carbine M1

Carbine M1

Carbine M1A1

Spécifications techniques
Fonctionnement Semi-automatique
Calibre .30 (7,62 mm)
Munition .30 M1 (7,62x33 mm)
Cadence de tir 30 coups/min
Capacité 15 / 30 balles
Portée Pratique : 300 m / max : 2010 m
Masse 2,36 kg (2,50 kg pour la M1A1)
Longueur 904 mm (905 mm pour la M1A1)
Longueur du canon 450 mm (648 mm pour la M1A1)
Vitesse initiale 610 m/s
24 mars 2007

P99

 Walther P99, version 9 mm Parabellum avec carcase en polymère vert

Walther P99, version 9 mm Parabellum avec carcase en polymère vert

Le Walther P99 est un pistolet semi-automatique fabriqué en Allemagne par Walther Sportwaffen.

La conception du P99 a été amorcée en 1994 et le pistolet a été présenté en 1996. Le but principal était de développer un nouveau pistolet de style moderne pour la police et l'autodéfense qui incorporerait toutes les dernières techniques et coûterait moins cher que son prédécesseur - le Walther P88, qui n'a pas réalisé un succès commercial significatif, principalement en raison de son prix élevé.

Le P99 est distribué aux États-Unis par Walther America, une filiale de Smith & Wesson.

Sommaire

[afficher]

Présentation [modifier]

Le P99 est une arme moderne utilisant les dernières caractéristiques du moment.

La carcasse est faite en polymère, avec le grip arrière de poignée facilement remplaçable et disponible dans plusieurs tailles et de formes différentes pour une meilleure prise en main.

D’autres spécificités caractérisent le P99:

  • Platine sélective avec pré armement de la détente
  • Mécanisme de mise à feu modulaire
  • Court recul de canon oscillant sur rampe
  • Pontet carré, pas de marteau apparent
  • Mécanisme désarmant le percuteur sur la culasse encastré
  • Sûreté au choc automatique
  • Indicateurs de chargement et d'armement
  • Commande d'ouverture de chargeur ambidextre
  • Visée réglable et à contraste
  • Rail de montage pour laser ou lampe torche

Relookage [modifier]

Un relookage du P99 a été présenté en 2004 incorporant une garde de détente modifiée qui a éliminé la bosse de ski, ceci afin d’apporter plus de confort à l’utilisateur que le style précédent.

Walther a revu le dessin de la culasse afin de permettre à l'utilisateur de pouvoir la saisir plus facilement et changer le rail de montage d’accessoires pour le modèle Weaver.

Quelques modèles construits en 2005 et tous les modèles postérieurs ont reçu encore un changement de conception, une sortie de chargeur modifié allongée.

Sur le marché américain, et pendant la période ou la loi américaine sur les armes automatiques légiférait, seules les chargeurs 10 coups étaient disponibles sur le marché civil américain. A son expiration le 13 septembre 2004, le P99 fut présenté au public américain avec un chargeur pleine capacité dans la plupart des états.

Ces améliorations ont apportées une légère augmentation de l’épaisseur de l’arme tout en la faisant moins lourde.

Variantes [modifier]

Le P99 a été produit avec plusieurs variantes

P99AS (Anti-stress) [modifier]

Platine fonctionnant en double action (DA/SA). Avant 2004, Walther ne faisait aucune désignation pour la détente double action standard. Après cette date, avec les nouvelle variantes, Walther commercialisa le P99 sous me nom de P99AS (ou Anti-Stress).

Une version particulière, le P99 d’alarme a également été fabriquée, et chambrée en 9 mm P.A.K (à blanc ou à gaz).

P99DAO [modifier]

Le P99DAO est un P99 avec une platine ne fonctionnant qu’en Double Action Only. Il a été produit sous le nom de P990.

P99QA (Quick-action) [modifier]

Platine sélective avec pré armement de la détente suivant le principe Glock. Le P99QA a été annoncé en 2000.

P99C (Compact) [modifier]

Chambrée en 9 mm Parabellum, il est la version compact du P99 avec les 3 options de modes d’actions de platine cités ci-dessus. Ses dimensions sont réduites par rapport au modèle standard : 168 x 110 x 32 mm, d’un canon de 90 mm, d’un poids de 530 mm et son chargeur ne possède que 10 coups.

Versions limitées [modifier]

Walther a aussi créé plusieurs versions limitées du P99 comme::

  • MI-6, une version purement marketing suite au nouveau film de James Bond, puisque le P99 a été utilisé par ce personnage de fiction.
  • La Chasse
  • Year 2000 pour la commémoration du passage à l'an 2000.

Smith & Wesson SW99 [modifier]

Très proche du P99, le Smith & Wesson SW99 est une joint-venture entre Walther, qui produit la carcasse modifiée en Allemagne et Smith & Wesson, qui fabrique les culasses et les canons aux États-Unis. Les chargeurs de ces deux armes sont compatibles entre elles, mais on considère les 2 pistolets différents et sont facilement identifiables l'un de l'autre par la garde de détente et la conception de la culasse. De plus, le SW99 est aussi disponible pour le calibre .45 ACP, tandis que le P99 ne l'est pas.

Bien que certains Walther P99 porte la marque SMITH & WESSON Springfield, MA, cela ne signifie seulement que l'importation aux USA est faîte par Smith & Wesson qui est actuellement l'importateur officiel de la marque Walther et non que l’arme a été fabriquée par eux. Un aigle sur le numéro est gravé sur la carcasse, le canon et la culasse et est présent sur tout les P99 d’origine allemande.

Caractéristiques du P99 [modifier]

  • Calibre: 9 mm Parabellum - .40 S&W - 9 x 21 mm IMI
  • Dimensions hors tout :
    • 1ère version: 180 x 135 x 29 mm
    • 2ème version : 181 x 137 x 32 mm
  • Longueur du canon: 102 mm en 9 mm – 106 mm en .40 S&W
  • Poids non chargé : 605 g en 9 mm (1ère version : 700 g) – 655 g en .40 S&W
  • Capacité chargeur :
    • 1ère version: 16 coups + 1 dans la chambre en 9 mm - 12 coups en .40 S&W
    • 2ème version : 15 coups + 1 dans la chambre en 9 mm - 12 coups en .40 S&W

Anecdotes [modifier]

  • Dans la série japonaise Cowboy Bebop, le personnage de Jet Black utilise un P99.
Publicité
26 février 2007

MP44

From Wikipedia, the free encyclopedia

Jump to: navigation, search

Sturmgewehr 44 (StG44); Maschinenpistole 43 (MP43); Maschinenpistole 44 (MP44);

Sturmgewehr 44
TypeLight automatic rifle/assault rifle
Place of originNazi Germany
Service history
In serviceJuly 1944–May 1945
Used byNazi Germany
WarsWorld War II
Production history
Designed1943
ProducedJuly 1944–May 1945
Number built425,977
Specifications
Weight5.22 kg (11.5 lb)
Length940 mm (37 in)
Barrel length419 mm (16.5 in)

Cartridge7.92 x 33 mm (7.92 mm Kurz)
Caliber8 mm (.31 in)
ActionGas-operated, tilting bolt
Rate of fire500-600 rounds/min
Muzzle velocity685 m/s (2,247 ft/s)
Effective range300 meters
Feed system30-round detachable box magazine
Sightsadjustable 800meter sights with Rear: V-notch; front: ring with vertical post

Sturmgewehr 44 (StG44) was an assault rifle developed in Nazi Germany during World War II and was the first of its kind to see major deployment. It is also known by the designations Maschinenpistole 43, Maschinenpistole 44 (MP43 and MP44, respectively) which denotes earlier versions of the same weapon.

Contents

[show]

[edit] Description

MP43, MP44, and StG44 were different names for what was essentially the same rifle, with minor differences in production and dates. The various names were a result of the complicated small arms nomenclature in Nazi Germany. Developed from the Mkb 42(H) "machine carbine", the 'StG44' combined traits of carbines, submachine guns and automatic rifles. StG is an abbrevation of Sturmgewehr (a name chosen for propaganda reasons), that literally means "storm rifle" as in "to storm a bunker", but the name retains its double meaning in German referring also to the weather phenomenon. After the adoption of the StG44, the English translation "assault rifle" became a common class description of this type of infantry small arm in the Western world.

The rifle was chambered for the 7.92 x 33 mm cartridge, also known as 7.92 mm Kurz (German for "short"). This shorter version of the German standard (7.92 x 57 mm) rifle round, in combination with the weapon's selective-fire design, provided most of the controllable firepower of a submachine gun at close quarters with the much of the accuracy and power of a Karabiner 98k bolt action rifle at intermediate ranges. While the StG44 had less range and power than the more powerful infantry rifles of the day, Wehrmacht studies had shown that most combat engagements occurred at less than 300 meters with the majority within 200 meters. Full-power rifle cartridges were simply overpowered for the vast majority of uses for the average soldier.

The StG44's receiver was made of heavy stamped and welded steel, a fairly unusual construction method for rifle-caliber small arms. This made for a fairly heavy rifle, especially one firing an intermediate-power cartridge. Difficulties with fabrication, the need to use available non-priority steels, and the exigencies of war resulted in a heavy, yet fairly weak receiver that was vulnerable to damage from impacts. The receiver could be bent and the bolt locked up by the mere act of knocking a leaning rifle onto a hard floor. [1] It was uncomfortable when shooting from the prone position, the buttstock was not strong and could be easily damaged in hand-to-hand combat.

Nevertheless, it was the first weapon of its class, and its proven effectiveness in combat would cause the StG44 to have a major impact on modern infantry small arms development. By all accounts, the StG44 fulfilled its role admirably, particularly on the Eastern Front offering a greatly increased volume of fire compared to standard infantry rifles.

[edit] Background

At the start of the Second World War German infantry was equipped with similar weapons as most other forces. A typical infantry unit was equipped with a mix of bolt action rifles and some form of light or medium machine guns. One difference from other armies was the emphasis on the machine gun as the primary infantry weapon, as opposed to it being thought of mostly in the support role. German units tended to be machine gun "heavy", carrying more ammunition for the machine gun than for the rifles, using belt ammunition for their more modern section-level weapons to maintain a higher rate of fire, and generally thinking of the rifle as a support weapon of secondary importance. Although newer rifle designs had been studied on several occasions, they were never considered very important.

One problem with this mix was that the standard rifles were too large to be effectively used by mechanized and armored forces, where they were difficult to maneuver in the cramped spaces of an armored vehicle. Submachine guns such as the MP28, MP38, and MP40 were issued to augment infantry rifle use and increase individual firepower, but suffered from a distinct lack of range and accuracy for ranges beyond 100 meters. A small fast-firing weapon would be useful in this role as well, but again the need did not seem pressing.

The issue arose once again during the invasion of the Soviet Union. The Red Army had been in the process of replacing its own bolt action rifles in the immediate pre–war era. Increasing numbers of semi-automatic Tokarev SVT38 and SVT40s were reaching Red Army units, though issue was generally restricted to elite units and non-commissioned officers. Submachine guns were extremely widespread, and issued on a far larger scale; some Soviet rifle companies were completely equipped with fast-firing PPSh-41 submachine guns. [2]

This experience with high volumes of hand-held automatic 'assault' fire forced German commanders to rethink their small arms requirements. The German army had been attempting to introduce semi-automatic weapons of their own, notably the Gewehr 41, but these early rifles proved troublesome in service, and production was insufficient to meet forecast requirements. Several attempts had been made to introduce lightweight machine guns or automatic rifles for these roles, but invariably recoil from the powerful 7.92 mm Mauser round made them too difficult to control in automatic fire.

The German solution was to use a round of "intermediate" power, somewhere between that of a full-power rifle cartridge and pistol ammunition. Experiments with several such intermediate rounds had been going on since the 1930s, but had been constantly rejected for use by the army. By 1941, it was becoming clear that action needed to be taken, and one of the experimental rounds, the Polte 7.92 x 33 mm Kurzpatrone (short cartridge) was selected. To minimize logistical problems, the Mauser 7.92 mm rifle cartridge was used as the basis for the final 7.92 mm Kurz intermediate round, which also utilized an aerodynamic spitzer rifle bullet design.

[edit] MKb 42

Contracts for rifles firing the Kurz round were sent to both Walther and Haenel (whose design group was headed by Hugo Schmeisser), who were asked to submit prototype weapons under the name Maschinenkarabiner 1942 (MKb 42, literally "machine carbine"). Both designs were similar, using a gas-operated action, with both semi-automatic and fully-automatic firing modes.

The original prototypes of Haenel's design, the MKb 42(H), fired from an open bolt and used a striker for firing (the mechanism is based on the Czechoslovak ZB vz.26). The receiver and trigger housing with pistol grip were made from steel stampings, which were attached to the barrel assembly on a hinge, allowing the weapon to be "folded open" for quick disassembly and cleaning. The Haenel design proved superior to Walther's MKb 42(W), and the army then asked Haenel for another version incorporating a list of minor changes designated MKb 42(H). One was to include lugs for mounting a standard bayonet, another to change the pitch of the rifling. A production run of these modified versions was sent to the field in November 1942, and the users appreciated it with a few reservations. Another set of modifications added a hinged cover over the ejection port to keep it clean in combat, and rails to mount a telescopic sight. A run of these modified MKb 42(H)s in late 1942 and early 1943 produced 11,833 guns for field trials.

Ultimately it was recommended that a hammer firing system operating from a closed bolt similar to Walther's be incorporated. The gas expansion chamber over the barrel was deemed unnecessary, and was deleted from successive designs.

[edit] MP43

While the new version was under development in late 1942, infighting within the Third Reich was in full swing. Hitler was increasingly concerned with this, and after Hermann Göring had created the FG 42 in a separate program from the army's similar Gewehr 41 efforts, Hitler cancelled all new rifle projects completely. This included the production of the MKb 42(H). One concern was that the new weapon used a new ammunition type which would further hamper an already daunting logistics problem.

In order to preserve the weapons development, a new project at Gustloff was started to produce a similar weapon using the original Mauser round, the Mkb 43(G). Whenever Hitler asked about the progress of the rifle, he was always shown one of these prototypes, although there was no intention of producing them. Meanwhile the newest version of the original Mkb 42(H) was called the Maschinenpistole 43 (MP43) to disguise it as an upgrade to existing submachine guns. Another change fit a rifle grenade launcher attachment from the earlier MKb 42(H) to the MP43/1.

Eventually the truth surfaced and Hitler ordered the project stopped once again. However in March 1943 he allowed the run to continue for evaluation purposes, which then continued until September, and due to the positive combat reports it was allowed to continue.

[edit] MP44, StG44

On 6 April 1944, Adolf Hitler issued the following decree:

a) The former MG42 is to retain the same designation
b) The former self-loading rifle, known as the Gewehr 43, shall receive the designation Karabiner 43 (K43).
c) The former new MP, known as the MP43, shall receive the designation MP44.

In July 1944 at a meeting of the various army heads about the Eastern Front, when Hitler asked what they needed, a general blurted out "More of these new rifles!" This caused some confusion, but once Hitler was given a chance to test fire the MP44, he was impressed and gave it the title Sturmgewehr. Seeing the possibility of a propaganda gain, the rifle was again renamed as the StG44, to highlight the new class of weapon it represented, literally "assault rifle, model 1944", thereby introducing the term.

By the end of the war, some 425,977 StG44 variants of all types were produced. The assault rifle proved an invaluable weapon, especially on the Eastern front, where it was first deployed. A properly trained soldier with an StG44 had a greatly improved tactical repertoire, in that he could effectively engage targets at longer ranges than with an MP40, but be much more useful than the Kar98k in close range urban fighting, as well as provide light cover fire like a light machine gun.

The StG44 was an intermediate weapon for the period; the muzzle velocity from its 42 cm barrel was 647 m/s, compared to 880 m/s (K98k), 744 m/s (Bren), 600 m/s (M2 Carbine), and 365 m/s (MP40).

One unusual addition to the design was the Krummlauf, a bent barrel with a periscope sighting device attached for shooting around corners from a safe position. It was produced in several variants, an "I"-version for infantry use, a "P" version for use in tanks (to cover the dead areas in the close range around the tank, to defend against assaulting infantry), versions with 30°, 45°, 60° and 90° bends, a version for the StG44 and one for the MG 42. Only the 30° "I" version for the StG44 was produced in any numbers.

A primary use of the MP44/StG44 was to counter the Soviet PPS and PPSh submachine guns, which used a 7.62 x 25 mm round. These cheap mass-produced weapons used a 71-round drum magazine or 35-round "box" magazine and though shorter-ranged than the Kar98k rifle were more effective weapons in close quarter combat. The StG44, while also lacking the range of the Kar98k, had a longer range than the PPS/PPSh submachine guns and a comparable rate of fire. Also, while they could fire fully automatic, they were designed to default to semi-auto fire. They were surprisingly accurate, and their slow rate of fire gave them controllability even on full-auto. While the design details are quite different, the concept of the StG44 was obviously carried on in the most famous and most numerously manufactured assault rifle, the AK-47.

[edit] Late prototypes

Mauser developed several prototype StG45(M) assault rifles, first with the Gerät 06 (Device 6) using a roller-delayed blowback mechanism originally adapted from the roller-locked recoil operation of the MG42 machine gun but with a fixed barrel and gas system. It was realized that with careful attention to the mechanical ratios, the gas system could be omitted. The resultant weapon, the Gerät 06(H) was supposedly slated for adoption by the Wehrmacht as the StG45. This mechanism would later be developed by former Mauser engineers in Spain and used on the post-war CETME and Heckler & Koch's G3 assault rifle and MP5 submachine gun.

Towards the end of the war, there were last-ditch efforts to develop cheap so-called Volksgewehr rifles in the 7.92 x 33 mm caliber. One of these Volkssturmgewehr 1-5 (the VG 1-5) used a gas-delayed blowback action based on the Barnitzke system, whereby gas bled from the barrel near the chamber creates resistance to the rearward impulse of the operating parts, which ceases when the projectile leaves the muzzle, allowing the operating parts to be forced rearward by the residual pressure of the cartridge case. This principle has been used most successfully in the Heckler & Koch PSP or P7 pistol.

[edit] Post-war

Generally accepted as the world's first assault rifle, the StG44's effect on post-war arms design was wide-ranging, as evidenced by Mikhail Kalashnikov's famous AK-47, and ultimately in the U.S. M16 and its variants.

The Soviet Union, who also had lacked large number of deployed light machine guns like the BAR, was quick to adapt the assault rifle concept. The AK-47 used a similar-sized round and followed the design concept, but was mechanically much different.

Many of the other Western countries continued using their existing weapons. The 7.62 x 51 mm NATO round that was adopted was no smaller, though the adoption of smaller rounds had been a pre-existing trend. For example, the M1 Garand, which was initially developed for the .276 (about 7 mm), was changed at the direction of General MacArthur to use the previously existing .30-06 Springfield cartridge to be common with existing ammunition stocks and weapons. Some modification was made, using a lighter 150-grain (9.7 g) bullet for the Garand, rather than a heavier 172-grain (11 g) bullet intended to be optimized for the M1917 Browning machine gun.

Eventually, NATO moved from the 7.62 x 51 mm to another intermediate cartridge, the 5.56 x 45 mm, but the weapons that were adopted varied significantly and marked a different interpretation of what was needed in an intermediate weapon than the AK-47 and StG44. They used an even smaller higher velocity round, and the weapons themselves were lighter. In terms of size and weight, they were closer to the M2 Carbine (a fully-automatic version of the M1), and the cartridge design itself had a history dating back before the 1900s. The USSR noted the advance and incorporated these differences in the improved AK-74, which was lighter and used a 5.45 x 39 mm round similar to NATO's version.

As for the Sturmgewehr itself, it remained in use with the East German Nationale Volksarmee until it was eventually replaced with variants of the AK-47 assault rifle. Argentina manufactured their own trial versions of the StG44 in the late 1940s and early 1950s [3], but made the decision to adopt the FN FAL instead in 1955 [4].

The StG44 is currently in service with the Lebanese Forces [5]. It is also used in limited numbers by irregular forces in some countries in the Horn of Africa and the Middle East.

[edit] Further reading

[edit] See also

[edit] References

  1. ^ Shore, C. (Capt.), With British Snipers to the Reich, Samworth Press, 1948
  2. ^ Weeks, John, World War II Small Arms, Galahad Books, 1979
  3. ^ (Spanish)Museo de Armas de La Nacion
  4. ^ Argentinian Military ww2incolor.com forum post
  5. ^ Lebansese Forces web site

26 février 2007

MP40

Le Maschinenpistole 40, couramment appelé MP40, est un pistolet mitrailleur, successeur du Maschinenpistole 38 (les chiffres correspondant aux deux derniers chiffres de leurs dates d'adoption respectives, durant le XXe siècle). Il fut conçu à partir du MP38 afin de réduire le coût de production, comme l'a été la MG42 par rapport à la MG34. Plus de 1,2 million de MP40 et MP38 seront produits durant la Seconde Guerre mondiale.

Sommaire

[afficher]

Histoire [modifier]

Les soldats alliés surnommèrent cette arme « Schmeisser », en référence au concepteur d'armes allemand Hugo Schmeisser qui était à l'origine du MP18 du conflit précédent. En réalité, les MP38 et MP40 furent conçus par Heinrich Vollmer à l'usine d'armement Geipel de Erfurt (Erfurter Maschinenfabrik Geipel ou ERMA). Celui-ci se basa sur le MP36, effectivement développé et produit quant à lui par Schmeisser. Le MP40 a été fabriqué dans les usines ERMA, ainsi que par la firme Haenel à Suhl et la firme Steyr en Autriche, où la production de MP40 fut la plus importante et s'est poursuivie jusqu'en octobre 1944. Au total, entre 746 000 et 1 100 000 pièces furent produites.

Conception [modifier]

À la fin des années 1930, la production en grand nombre du MP38 pour la Wehrmacht fut lancée, après que son utilité eut été clairement démontrée lors de la guerre d'Espagne. On prévit dès le début sa production en grande nombre pour en réduire les coûts. Vollmer renonçant au bois, lourd et coûteux, le MP38 devint la première arme au monde à être dotée d'une crosse clipsable en acier. Il répondait ainsi bien aux exigences de la Wehrmacht pour la Blitzkrieg à venir.

La fabrication du MP38 se réalisait principalement par façonnage, ce qui demandait donc à la fois une main-d'œuvre qualifiée et des matériaux de premier choix. Il en résultait donc des surcoûts si l'on voulait aboutir à une réalisation réellement de qualité. La production fut par la suite grandement accélérée et facilitée lors de l'introduction de techniques industrielles comme l'emboutissage des tôles ou le soudage par points. Malgré la standardisation des procédés, les coûts de fabrication de l'arme, désormais appelée MP40, restèrent néanmoins légèrement supérieurs à ceux du MP38. Les économies en termes de matières premières restaient également minimes. Néanmoins, les cadences de productions purent être grandement augmentées.

Le design du MP38/40 était, comparativement aux pistolets mitrailleurs construits jusqu'alors, innovant et peu conventionnel. La plaque d'épaule en acier clipsable rendait l'arme très maniable. La Bakélite, économique et plus facile à mettre en œuvre, fut employée pour la carcasse et la poignée en remplacement du bois. Le lourd appareillage de visée participait à l'équilibre global de l'arme, la rendant très maniable. Comme l'arme ne diposait que d'une position de tir « en rafales » (pas de sélecteur de tir), c'était une condition nécessaire pour que le tireur pût être capable après un temps relativement court d'être également précis lors d'un tir au coup par coup.

Le MP40 est doté d'un ergot appelé « nez » sous le canon destiné à prendre appui sur le rebord de la carrosserie des véhicules pour stabiliser le tir (caractéristique déjà observée sur certaines armes très anciennes dites de rempart). Cela permettait d'éviter que le recul de l'arme ne renvoie le tireur à l'intérieur du véhicule.

Le chargeur de 32 balles constituait un point faible de l'arme. À l'intérieur, les balles y sont stockées sur deux rangs, alors que l'approvisionnement de l'arme se fait sur une seule file, par le haut du chargeur. Lors de la réunion des deux files en une seule, il était fréquent que les balles se collent (à cause de poussières) ce qui provoquait l'enrayement de l'arme. L'innovation apportée sur une version ultérieure (MP40/1) où le logement du chargeur était nervuré n'apporta pas une grande satisfaction.

Un problème de sécurité existait au début avec l'obturateur entre le chargeur et la chambre. Il n'était pas possible de le verrouiller, et lors d'un choc sur l'arme, une balle pouvait entrer dans la chambre sans que cela ne soit souhaité. Le coup pouvait alors partir par accident. Ce déficit a été comblé au moyen d'un dispositif de verrouillage, introduit en série à partir de 1941. Généralement, les vieux MP38 et MP40 furent rééquipés de ce dispositif.

Évolutions [modifier]

Lors de l'opération Barbarossa, la rencontre avec le PPSh-41 soviétique et son chargeur camembert de 71 coups conduisit à la version MP40/2, équipée d'un double accueil pour magasins. Après que le premier chargeur avait été vidé, celui-ci pouvait être retiré de son logement d'une simple poussée. Ainsi, pas moins de 64 coups pouvaient être tirés sans recharger. Néanmoins, sa construction compliquée empêcha sa production en masse.

Hugo Schmeisser conçut quant à lui pendant la guerre le MP41. Cette arme était constituée du corps et la culasse du MP40 (ce qui le rendait techniquement parlant pratiquement identique) et d'une plaque d'épaule en bois et du mécanisme de mise à feu du MP28. Le MP41 fut surtout produit à l'exportation et pour les unités de police.

Dotation [modifier]

Le MP38 était tout d'abord destiné aux équipages de véhicules blindés, mais sa maniabilité en a vite fait l'arme de toutes les formations armées, même les équipages des U-Boot. Avec cette arme relativement compacte pour l'époque, une petite unité de combat pouvait développer une puissance de feu relativement importante. Le MP38/40 est considéré comme l'arme substancielle de l'infanterie allemande. Ainsi, dans de nombreuses productions hollywoodiennes, cette arme est surreprésentée parmi les soldats allemands en comparaison avec les faits historiques. Les MP40 étaient généralement distribués aux chefs d'escouades et aux chefs de pelotons, tandis que le reste de la troupe luttait avec des Mauser Karabiner 98k. À l'automne 1939, lors de l'attaque de la Pologne, la Wehrmacht s'était vue attribuer 8773 MP38. Jusqu'à l'introduction du MP40, pas moins de 40 000 unités en avaient été produites.

Accessoires [modifier]

Chaque arme est dotée de six chargeurs. À cet effet, chaque soldat possédait deux pochettes de trois chargeurs, une à droite et une à gauche. L'outillage nécessaire au garnissage des chargeurs quant à lui se trouvait dans une petite sacoche supplémentaire sur la cartouchière gauche. Dans des cas bien spécifiques, le MP40 était également accompagné d'un silencieux.

Comportement au combat [modifier]

Sa portée effective maximale atteint 200 mètres. Sa cadence de tir modérée de 400 à 500 coups par minute le rendait plus contrôlable que certaines autres armes semblables. Il était équipé d'une crosse métallique pliante. L'absence de garde au niveau de la poignée avant (en fait le chargeur) était son principal défaut. Les soldats se brûlaient souvent les mains après un tir nourri.

D'une portée efficace d'une centaine de mètres, c'était un avantage indéniable sur le Thompson américain dont la portée n'excédait guère cinquante mètres. Il se trouvait en revanche plutôt dépassé par les pistolets mitrailleurs soviétiques tels le PPSh-41 ou le PPS-43, chambrés dans un calibre plus puissant. Tandis que sur le front de l'Ouest, les Américains avaient tendance à préférer le MP40 à leur Thompson, les Allemands utilisaient sur le front de l'est les PPSh-41 soviétiques.

Imitations [modifier]

Le MP40 a servi de modèle à bon nombre d'armes ultérieures, notamment des pistolets mitrailleurs automatiques. Notons parmi celles-ci :

D'autre part, les armes que les Alliés envoyaient aux différents groupes de résistants en Europe occupée étaient souvent finalisés de manière à ce qu'ils puissent utiliser les munitions des MP40 (9 mm Parabellum) prises à l'ennemi. C'était notamment le cas de la Sten ou du United Defense M42 américain.

Après guerre [modifier]

Après la Seconde Guerre mondiale le MP40 servit en Palestine, où une grande quantité d'armes prises sur l'ennemi furent stockées dans les arsenaux de la future armée israélienne. Jusqu'en 1956, le MP40 fut l'arme officielle des parachutistes israéliens. En 1999, lors de la guerre du Kosovo, de nombreux exemplaires de ces véritables antiquités réapparurent étonnamment.

Jeux vidéo [modifier]

Du fait de sa renommée, l'arme se retrouve fréquemment dans des jeux vidéo inspirés de près ou de loin par la Seconde Guerre mondiale. Notons parmi ceux-ci :

Caractéristiques techniques [modifier]

  • Type : Pistolet-mitrailleur
  • Fonctionnement : automatique
  • Calibre et/ou munition : 9 mm Parabellum (9 × 19 mm)
  • Longueur : 63 cm (crosse pliée), 83,3 cm (crosse dépliée)
  • Longueur du canon : 25 cm
  • Masse non chargé : 4,03 kg
  • Masse chargé : 4,7 kg
  • Cadence de tir : 400 à 500 coups/min
  • Chargeur : 32 cartouches
  • Portée efficace : 100-200 mètres
  • Vitesse initiale : 380 m/s
24 février 2007

BREN LMG

Le fusil mitrailleur BREN est entré en service en 1937 dans l'armée britannique. C'est en fait une évolution du FM tchécoslovaque ZB-30 et son nom est la contraction de ses sites d'invention ( Manufacture de Brno et Arsenal royal d'Enfield).

Effectivement en mai 1935, le Royaume-Uni avait obtenu la licence de fabrication du modèle ZBG-34, un version modernisée du modèle 26. Au cours de la Seconde Guerre mondiale, l'Australie(Manufaxture de Lithgow), l'Inde (arsenal d'Ishapore) et le Canada suppléèrent l'arsenal d'Enfield (ayant construit 280000 BREN) et groupe britannique Monotype pour armer les Alliés, la Chine et les mouvements de résistance en guerre contre l'Allemagne (dont les FFI et FFL) et le Japon.

Cette arme produite en quatre versions (Mark 1 à Mark 4) se différenciant par des détails simplifiant la fabrication et par la longueur du canon.Les MK 1 et 2 furent distribuées aux fantassins quant aux MK 3 et 4 apparus à la toute fin du conflit étaient destinés aux parachutistes. Le FM BREN servit occasionnellement d'arme anti-aérienne (avec un trépied spécial) et d'armement principal du Bren-Carrier.

Le chargeur cintré, dû à la conicité de l'étui de sa munition), accueillant 30 coups (rempli seulement de 38 cartouches sur le terrain) étant indroduit par le dessus du boîtier-culasse, les organes de visée hausse et guidon sont décalés sur le côté gauche. Contrairement à de nombreux FM, le canon du BREN est démontable pour être changé quand il s'échauffe. La crosse, la poignée-pistolet et la poignée de changement de canon du Bren sont en bois.

L'arme très appréciée des combattants, notamment à cause de sa fiabilité, est construite de 1938 à 1958. Après 1958, de nombreux BREN en .303 British (son calibre d'origine) sont convertis en 7,62 OTAN (L4) continue à équiper l'armée britannique et de nombreux pays du Commonwealth pour créer une uniformité de munitions avec les fusils L1A1 et les mitrailleuses L7. Les FM BREN connurent la Guerre d'Indochine et participent ensuite à de nombreux conflits dont la Guerre de Corée, la Guerre des Malouines ou la Guerre du Golfe.

Sommaire

[afficher]

Variantes [modifier]

La longue carrière opérationnelle du FM BREN (de 1940 à 1990 environ) explique l'existence de 14 versions.

Mark 1 [modifier]

Mark 1 (modèle Canadien)

Mark 1 (modèle Canadien)

Cette version originale produite à partir d'août 1938 est très proche de l'arme tchèque. Il comporte une béquille de crosse repliable.

En 1940, les ingénieurs britanniques y apportent une première modification pour en faciliter la production. Ils créent alors le Mk 1 (M).

Mark 2 [modifier]

Apparu en 1941. Une nouvelle simplification du Mk 1. Produit par le groupe Monotype avec des pièces venant de plusieurs sous-traitants. C'est le plus répandu des BREN. Les Canadiens en ont fabriqué une variante en 8mm Mauser pour les chinois nationalistes de Tchang Kaï-chek.

Fiche technique BREN Mk 1 et Mk 2 [modifier]

  • Munitions : .303 British (7,7x56mm R)/ 8mm Mauser (Chine)
  • Longueur totale : 1, 156 m
  • Canon : 63,5 cm
  • Masse (arme vide) : 10,2 kg
  • Masse du chargeur plein : 1,05 kg
  • Masse (arme chargée) : 11,25 kg
  • Chargeur : 30 coups
  • Cadence de tir théorique : 500 coups/min.

Mark 3 [modifier]

Une version allégée et raccourcie du Mk 2 produit à Enfield pour les besoins de la Guerre du Pacifique en 1943.

Mark 4 [modifier]

Modification du MK 1 en Mk 3. Dernière version du BREN dans son calibre d'origine. Fabriqué en petit nombre de 1944 à 1958.

Fiche technique BREN MK3 et 4 [modifier]

  • Longueur totale : 1,09 m
  • Canon : 56,5 cm
  • Masse (arme vide): 8,7 kg
  • Masse (arme chargée): 9.75 kg

Le F-M Type 41 : un BREN taiwanais [modifier]

Les arsenaux de Taïwan ont produit une variante du BREN Mk 2 après 1949 sous le nom de Type 41 en l'adaptant pour la .30-06 US.

Le L4 ou le BREN au standard de l'OTAN [modifier]

Apparus en 1958, Les BREN L4 s'identifient facilement par leur nouveau chargeur droit et le changement de cache-flamme pour un modèle droit à fente (identique à la mitrailleuse L7). Tous les L4 sont chambrés pour la 7,62 OTAN. Ils sont aujourd'hui remplacés par le LSW L86A1 dans l'armée britannique et par la FN Minimi dans de nombreux pays du Commonwealth. Ils sont néanmoins stockés dans les arsenaux de la Nouvelle-Zélande et de l'Eire au titre d'armes pour les réservistes.

DesignationDescription
L4A1 Conversion du Mk 3. Utilise un bipied Mk I et un canon en acier
L4A2 Conversion du Mk 3, avec un bipied plus léger. Le canon reste en acier
L4A3 Conversion du Mk 2
L4A4 Variante du L4A1 avec un canon chromé ou acier
L4A5 BREN Mk 3 avec un canon chromé. Produit pour la Royal Navy
L4A6 L4A1 muni d'un canon chromé
L4A9 Version modifiée pour être utilisée sur un véhicule
22 février 2007

Le Sig-Sauer SP 2022

Sig-Sauer Pro 2022

Sig-Sauer SP 2022

Sig-Sauer SP 2022

Sig-Sauer SP 2022 avec un chargeur

Sig-Sauer SP 2022 avec un chargeur

Le Sig-Sauer SP 2022 est un pistolet conçu en Suisse par Sig et produit en Allemagne par Sauer, il équipe la police nationale, gendarmerie et douanes françaises depuis fin 2003.

Prévue pour une durée de vie de vingts ans, cette arme sort gagnante d'une appel d'offres lancé en 2002 par la France. La sélection a été rigoureuse, plus de 400 policiers, gendarmes et douaniers ont tiré 460 000 cartouches. Le Sig-Sauer SP 2022 à été retenu pour ses nombreux dispositifs de sécurité.

Caractéristiques [modifier]

  • Calibre : 9 mm Parabellum, .357 SIG, .40 S&W
  • Longueur : 18,7 cm
  • Hauteur : 14,4 cm
  • Largeur : 3,5 cm
  • Longueur du canon : 9,8 cm
  • Nombre de rayure : 6
  • Poids chargé : 0,760 kg (9mm), 0,790 kg (.357, .40)
  • Capacité : 15 coups (9mm), 12 coups (.357, .40)

21 février 2007

Carcano

Carcano M91/24

Italie

Fusil

Le Carcano M91/24 est une évolution du fusil Carcano M91 qui utilisait une version perfectionnée par le lieutenant-colonel Salvatore M. Carcano et l'ingénieur Paravicino du système à répétition Mannlicher. La majorité de toutes ces armes seront produites à la manufacture d'armes de Brescia. Le modèle représenté ici est le M41.

Spécifications techniques
Fonctionnement Manuel
Calibre 6,5 mm
Munition 6,5x52 mm Carcano
Cadence de tir 15 coups/min
Capacité 6 balles
Portée Pratique : 800 m
Masse 3,8 kg
Longueur 1 295 mm
Longueur du canon 780 mm
Vitesse initiale 700 m/s
21 février 2007

Mossberg 500

Mossberg 590 de l'US Marine Corps

Mossberg 590 de l'US Marine Corps

Le Mossberg 500 est un fusil à pompe à âme lisse. Cette arme est l'une des plus répandue sur le marché américain aux côtés du Winchester 1300 et du Remington 870 en raison de sa bonne qualité et de son prix raisonnable. Il existe une copie pakistanaise de qualité de la version police de cette arme fabriqué par Daudsons Armoury (Peshawar).

Chambré en calibre 12, calibre 20 et .410, le Mossberg 590 est commercialisé, tant pour la chasse que pour les applications de maintien de l'ordre dans de nombreuses configurations. Muni d'une crosse en bois ou en polymère, il peut également recevoir une seconde poignée pistolet en lieu et place de la garde classique qui permet le rechargement. Les versions possédant une poignée pistolet à la place de la crosse d'épaule sont appelées cruiser. Le modèle 500 sont en service en nombre limité dans l'Armée de terre française (Forces spéciales, troupes stationnées en Guyane). Le 500 Cruiser est utilisé par le GSPR. D'autres versions, home defence ou tactical empruntent parfois des éléments au Mossberg 590 qui est la version militarisée du 500.

Il est équipé de canons interchangeables sans outils de différentes longueurs. Les plus courts (35,5cm, 45,72cm, 50,8cm) sont utilisés pour les applications de maintien de l'ordre alors que pour la chasse le canon peut aller jusqu'à 71,12 cm.

Le Mossberg 590 est sa version destinée à l'armée. Renforcé, doté d'un carénage ventilé sur le dessus du canon destiné à éviter les brûlures, son magasin a été rallongé et on peut lui adjoindre une baïonnette. Il est disponible avec une crosse d'épaule en polymère, une crosse d'épaule se repliant sur le dessus de l'arme ou avec une simple poignée pistolet et pas de crosse d'épaule du tout. La dernière version, le Mossberg 590DA est équipée d'une platine double action. Le Mossberg 590 a été adopté par l'US Marine Corps et de nombreux services de police et de sécurité aux États-Unis.

Mossberg propose une gamme économique sous la marque Maverick Arms Le Maverick 88 utilise les même crosses et canons que le Modèle 500. Mais la sûreté est actionné par un bouton poussoir situé sur le pontet, et non à l'arrière du couvre-culasse. Les Maverick 88 n'existent qu'en finition bronzée et crosse en matière synthétique. Les fusils Maverick Arms sont fabriqués au Texas, et non dans l'usine principale de Mossberg, sise dans le Connecticut. Les M88 vendus peu chers dans les années 1980-1990 ont conquis de nombreuses sociétés de gardiennage et de transport de fonds en France. De même, l'Armée de l'Air l'utilise pour garder ses bases aériennes.

Sommaire

[afficher]

Mossberg 500 [modifier]

  • Platine : simple action à pompe
  • Calibre : 12, 20, ou .410
  • Longueur : En fonction des modèles
  • Longueur du canon : 35,5cm, 45,72cm, 50,8cm et jusqu'à 71,12cm pour les versions de chasse
  • Poids non chargé : 3,06kg à 3,29kg
  • Capacité: 7 coups en magasin tubulaire

Mossberg 500 Bullpup [modifier]

Mossberg 590 [modifier]

  • Platine : simple action à pompe
  • Calibre : 12, 20
  • Longueur : 104,1 cm (avec canon de 51 cm et crosse fixe)
  • longueur du canon : le plus souvent 45,72 cm et 50,8 cm, autres longueurs disponibles
  • Capacité : 9 coups (cartouche de 70mm), 8 coups (cartouche de 76mm), 7 coups ou moins sur les modèles à canon court
  • Masse (arme vide): 3,17 kg (avec canon de 51 cm et crosse fixe)

Mossberg 500 HS (=Home Security) 410 [modifier]

  • Platine : simple action à pompe
  • Calibre : 410 Magnum
  • Longueur : 94,6 cm
  • longueur du canon : 47 cm
  • Capacité : 6 coups
  • Masse (arme vide): 2,5 kg

21 février 2007

Steyer TMP

Une arme compacte à l'allure futuriste.

Une arme compacte à l'allure futuriste.

Le Steyr TMP est un pistolet mitrailleur autrichien chambré en 9mm Parabellum. Très compact et dépourvu de crosse d'épaule, il fait massivement appel aux polymères dans sa construction ce qui lui permet d'afficher un poids réduit. Il est doté d'une poignée verticale qui le distingue très nettement d'un pistolet rafaleur et le rend également plus contrôlable.

Il demeure néanmoins une arme utile à courte portée, pour les applications de protection de personnalités et éventuellement les opérations d'assaut dans des espaces réduits comme les cockpits d'avions.

Fiche technique [modifier]

  • Calibre : 9 x 19 mm Parabellum
  • Cadence de tir : 900 coups / min.
  • Portée efficace : 25 m
  • Capacité du chargeur : 15 – 30 cartouches
  • Longueur : 282 mm
  • Poids à vide : 1,3 kg

21 février 2007

PP-19 Bizon

Le PP-19 Bizon remarquable pour son chargeur hélicodïdal

Le PP-19 Bizon remarquable pour son chargeur hélicodïdal

Le PP-19 est un pistolet mitrailleur russe . Le pistolet mitrailleur PP-19 a été conçu par la célèbre manufacture nationale d’armes russe Izhmash au début des années 1990 et fut présenté la première fois en public vers 1993.

Présentation [modifier]

Visiblement influencé par les PM Calico, le Bizon (Bison) qui est dérivé de l'AK-74, combine un chargeur hélicoïdal à grande puissance de feu (64 coups au lieu de 32 pour un MP5) avec une apparence et un mécanisme plus conventionnels. Le Bizon est essentiellement un dérivé du fusil d’assaut AKS-74 (carcasse, gâchette, poignée-pistolet, hausse, guidon et crosse repliable). Les modèles les plus récents présente une poignée plus ergonomique. Le chargeur cylindrique est situé sous le canon et sert de garde-main, grâce à une tenue en main confortable et un profil réussi. Initialement conçu pour tirer le 9 mm Makarov (en version standard, améliorée ou musclée), le Bizon est aussi chambré en 9mm Parabellum et 7,62mm TT. Ces dernières versions sont disponibles avec :

  • un chargeur cylindrique de 45 cartouches,
  • ou un chargeur courbe de 35 coups (apparemment ceux des vieux PPSch-41 and PPS-43, disponibles en grand nombre dans les réserves militaire de l’armée russe).

Utilisateurs [modifier]

Les PM Bizon sont en service en petite quantités dans les rangs des services de sécurité (FSB) et la police russes. Ils peuvent ainsi recevoir un silencieux en option.

Évaluation [modifier]

Selon les spécialistes russes, cette arme est confortable à transporter et à tirer. De plus, il est précis en tir semi-automatique. Les manipulations et le sélecteurs de tir/sûreté sont similaires à ceux des AK-47/AK-74, facilitant la familiarisation des recrues russes avec l’arme.

21 février 2007

FN P90

Un PM FN P90 aux mains d'un Garde national chypriote

Un PM FN P90 aux mains d'un Garde national chypriote

Le FN P90 ou Project 90 est un pistolet mitrailleur de conception belge fabriqué par la FN Herstal.

Sommaire

[afficher]

Philosophie de conception [modifier]

Pour répondre aux besoins des militaires et des policiers qui, dans la grande majorité, emploient des générations d'armes créées il y a 20 ou 30 ans et qui utilisent généralement le 9x19mm Parabellum peu puissant, les ingénieurs de la firme belge Fabrique Nationale Nouvelle Herstal S.A. se sont penchés sur une conception futuriste rompant avec les schémas établis jusqu'alors par les modèles précédents.

La gestation de l'arme, qui suivait le chemin tracé précédemment par d'autres groupes de travail, commença avec l'étude d'une taille réduite et d'une grande puissance de feu. Pour atteindre le premier objectif, on étudia de nouveaux matériaux pour finir par adopter des dérivés de polymère plastique qui avaient déjà été retenus pour d'autres armes. On adopta une disposition « bullpup » pour réduire la taille globale et le chargeur fut intégré à la partie supérieure pour éviter qu'il gêne les mouvements du tireur. Pour alimenter le chargeur, une nouvelle munition fut mise à l'étude afin de fournir des prestations sensiblement supérieures à celles employées jusqu'à présent. Les premiers travaux commencèrent à proprement parler au milieu de l'année 1986.

Elle fut l'une des premières armes à être conforme aux concepts de APDW (Advanced Personal Defense Weapon) et non simplement PDW, comme il l'est généralement rapporté. Ce concept de APDW provient du document « Smalls Arms Strategy 2000 » qui indique la ligne à suivre en ce qui concerne l'évolution des armes militaires à l'aube du XXIe siècle. Ce document a été sollicité par l'école d'infanterie de l'armée de terre américaine de Fort Benning. Il vise au développement d'armes ayant la dimension d'un pistolet mitrailleur mais néanmoins capable de défaire une cible équipée d'un casque et d'une veste pare-éclat à 200 mètres.

L'application de nouvelles technologies pour la conception et la capacité industrielle de la firme permirent l'aboutissement rapide du projet 90, comme on l'appelait au sein de l'usine belge.

Première présentation [modifier]

Les premiers exemplaires furent présentés à la presse mondiale, lors d'une journée de démonstration qui eu lieu le 6 octobre 1990 sur le champ de tir de Zutendaal, sous le nom de LISA (Leader In Smalls Arms)'90.

Caratéristiques novatrices [modifier]

Avec une longueur de 500 mm, une hauteur de 210 mm et une épaisseur de 55 mm et son poids de 3 kg avec chargeur garni de 50 cartouches, le P90 présente les dimensions significatives d'un pistolet mitrailleur.

Toutefois, son architecture bullpup lui offre une longueur comparativement plus courte que des pistolets mitrailleurs de conception classique comme le MP5 qui présentent une longueur comparable mais avec la crosse pliée, ce qui interdit alors de les épauler.

Son chargeur présente une capacité peu commune de 50 cartouches, quand la norme est plutôt de 30. Les munitions sont stockées dans un chargeur translucide particulièrement inhabituel. Placé au-dessus de l'arme, il contient 50 cartouches qui sont rangées perpendiculairement à l'axe du canon. Ce design inhabituel ne forme aucune protubérance et favorise la maniabilité de l'arme.

Le p-90 est utilisable aussi bien par les gauchers que les droitiers, étant parfaitement symétrique. on retrouve notamment le levier d'armement des deux cotés.

L'éjection des douilles se fait par le dessous, au niveau de la crosse.En plus d'éviter "d'arroser" les personnes se trouvant à proximité du tireur, cela évite aux gauchers le passage des douilles devant le visage lorsqu'ils tirent en joue.

Le P90 est la première arme à répondre au concept d'"APDW", ce qui ne l'empèche pas d'être également parfaitement adaptée au combat en milieu clos (CQB) de type bâtiment, grâce à sa maniabilité. Sa munition fait penser à une 5.56 OTAN miniature qui permet d'engager des cibles jusqu'à 200 mètres. Il existe également une munition subsonique qui permet d'employer le P90 avec un silencieux. Un tel dispositif dégrade bien entendu considérablement les performances de l'arme.

Le P90 dispose d'origine une visée de type "reddot" qui permet l'ajustage instantané et instinctif de la cible. Il offre de plus la possibilité de monter divers accessoires (flashlight, visée laser) grâce aux deux rails situés sur la coque supérieure.

Le P90 a été adopté par de nombreuses unités des forces spéciales et notamment le GIGN en France.

Pour anecdote, le P90 est l'arme principale utilisée dans la série télévisée Stargate SG-1 et Stargate Atlantis.

Spécifications [modifier]

  • Calibre : 5,7 x 28 mm SS190
  • Vitesse du projectile en bouche : ~715 mètres par seconde
  • Systeme de fonctionnement : Semi-automatique ou automatique
  • Système de fermeture : type blowback fermé durant le tir
  • Hauteur : 210 mm
  • Epaisseur : 55 mm
  • Longueur : 500 mm
  • Longueur du canon : 263 mm
  • Poids non chargé : 2,54kg
  • Poids chargé : 3kg
  • Poids chargeur vide : 140 g
  • Poids chargeur plein : 460 g
  • Cadence de tir : 900 coups/minute
  • Capacité : 50 coups

18 février 2007

CAR 15

le CAR 15

Le CAR 15 est issue de la famille des M 16. En effet il s'agit en fait d'une des premières armes de la famille à avoir été mise en service. Mais que les débuts de cette arme ont été laborieux. En effet les premières versions de ce fusil d'assaut se sont très mal passées.

Le CAR 15 a été utilisé tout d'abord lors de la guerre du Vietnam. Mais les conditions n'étant pas favorables (humidité, poussière, ...) et le fusil n'étant pas assez fiable, il y a eu beaucoup de problème (enrayement du fusil, ...). De plus lors du coup de feu, il y avait une énorme flamme qui sortait du canon et donc les soldats étaient très facilement repérable surtout dans la nuit.

Mais après plusieurs améliorations pour améliorer la fiabilité et la discrétion il est devenu l'un des plus "grand" fusil d'assaut au monde et est d'ailleurs toujours utilisé par les forces spéciales américaines et israéliennes.

Cette arme tire des balles de 5.56x45 mm ou de .223 Remington avec une cadence d'environ 750 coups par minute. Son chargeur peut contenir 30 cartouches. Il mesure entre 680 et 762 mm de longueur et pèse 2.44 kg.

18 février 2007

MK23 Socom

Le HK Mark 23

Le HK Mark 23

Le pistolet semi-automatique allemand HK Mk 23 Mod 0 est le pistolet réglementaire des US SOCOM. Il dérive de l'HK USP.

18 février 2007

SACO M60

La mitrailleuse Saco M60Un mitrailleur et son pourvoyeur servant une Saco M60 lors de la Guerre du Viêt Nam (1966).

Un mitrailleur et son pourvoyeur servant une Saco M60 lors de la Guerre du Viêt Nam (1966).

La M60 produite par Saco Defense de 7,62 OTAN fut la mitrailleuse standard des GI à partir de 1957 et fut notamment utilisée au Vietnam où elle fut surnommée "The Pig" (le cochon"). Malgré sa notoriété au sein du grand public, en raison de la couverture médiatique du la guerre du Vietnam et des films de guerre, ses nombreux défauts ont mené à son remplacement par la FN MAG.

Mécanique [modifier]

La M60 associe un mécanisme emprunté au Lewis Mark I sous la forme du FG-42 allemand et un système d'alimentation copié sur la MG 42.La crosse est dans la continuité de la carcasse carrée en acier usiné renfermant la majorité du mécanisme. Le couvercle renferme le système d'alimentation. Ce dernier se lève pour charger les bandes métalliques détachables M13 contenant cent cartouches de 7,62 OTAN. Le canon interchangeable est terminé par un cache-flamme. La poignée de transport est fixée sur la carcasse pour les premières versions et sur le canon pour les dernières. Le garde-main est perforé. Le levier d'armement, la sureté et la fenêtre d'éjection sont à droite. Le cylindre et le piston nécessaire s au système d'emprunt des gaz se situent sous le canon. La poignée pistolet (comprenant la sûreté à deux positions), la plaque de joue et le fût sont gainés de caoutchouc. Le guidon est fixe sur embase. La hausse dérivable comprend un oeilleton de combat pour 100 à 1000 m. L'arme reçoit un bipied repliable. La M60 peut être monté sur un trépied.

Versions [modifier]

Celles-ci sont nombreuses. Par ordre chronologique d'apparition la M60 devient :

  • M60 : version originale avec le bipied fixé sur le cylindre des gaz
  • M60E1 : version la plus courante avec bipied fixée au cache flamme. Egalement produit à Taiwan à partir de 1968 comme Mitrailleuse Type 57
  • M60E2 : mitrailleuse de char avec mise à feu télécommandée par solénoïde. Utilisé sur le char M60. Existe aussi crosse et poignée pistolet.
  • M60C/CA1 : Mitrailleuse fixe pour hélicoptère UH-1 Huey mise à feu télécommandée par solénoïde. Peut-être montée sur affuts jumelés (M2 ou M16). La réserve en munition esr de 1000 à 6000 coups.
  • M60D : mitrailleuse de portière des UH-1 Huey et CH-47 Chinook. Deux poignées arrières encadrant une détente remplacent la crosse et la poignée pistolet. La poignée de changement de canon , le bipied et les organes de visée sont ceux de la M60 de base.

Fiche technique [modifier]

M60 [modifier]

  • Munition : 7,62mm NATO
  • Masse avec bipied : 10.5 kg
  • Longueur : 1105 mm
  • Canon : 560 mm
  • Alimentation : bandes 100 cartouches
  • Cadence de tir ; 550 coups/min

La M60 était en premier lieu une arme peu fiable, surtout quand elle était encrassée. Ce défaut était agravé par la complexité de son entretien. Par ailleurs, les premières versions souffraient d'un changement du canon particulièrement peu pratique. Les opérateurs devaient tenir l'arme par la poignée car le bipied était solidaire du canon et devaient détacher le canon brûlant avec des gants spéciaux puisque la poignée était fixée à la carcasse. Le canon amovible comprenait une partie du mécanisme à gaz, ce qui alourdissait le poids de chaque canon emmené en opération. En dernier lieu le levier de sécurité fonctionnait à l'inverse de celui du M16 et du Colt M1911, ce qui constituait une source de confusion au combat.

Elle fut régulièrement amélioré. Ses versions A1 et E1 étaient destinées aux fantassins de l'US Army et aux fusiliers marins de l'US Marines Corps, qui adoptèrent ensuite une version E3. Une version E4, expurgée de ses défauts a fait une timide réapparition au sein de certaines unités spéciales

17 février 2007

Nebelwerfer

NebelwerferCaractéristiques techniques Nebelwerfer 41 [modifier]

  • Calibre: 150 mm
  • Masse : 540 kg
  • Longueur des tubes : 1,30 mètre
  • Armement : 6 roquettes de 150mm WGr
  • Pointage azimut : 24°
  • Pointage hauteur : -5°,+ 45°
  • Vitesse initiale : 340 mètre/seconde
  • Cadence de tir : 6 fusée en 10 secondes ou 3 fois 6 fusées en 5 minutes.

Caractéristiques techniques de la roquette 150mm WGr [modifier]

  • Calibre : 158 mm
  • Longueur : 0,93 mètre
  • Masse de l'engin : 32 kg
  • Charge utile : 2,4 kg de Tolite
  • Portée maximale : 7060 m
  • Vitesse initiale du projectile : 342 mètres par seconde

Caractéristiques techniques de la fusée fumigène 15cm. Wurfgranate 41 WRH Nebel [modifier]

  • Masse de l'engin : 35 kg
  • Charge utile : 3,85 kg de fumigème
17 février 2007

Lee Enfield Mark III

Le célèbre Lee-Enfield Mark III

Le célèbre Lee-Enfield Mark III

Le fusil court à chargeur Lee-Enfield Mark III arma les troupes britanniques et du Commonwealth de 1907 au début des années 1960. Il tire son nom de celui de son inventeur Lee et du principal arsenal qui le fabriqua (la RSAF D Il remplaça totalement les fusils Lee-Metford et cotoya son successeur officiel le Lee Enfield n°4 au cours de la Seconde Guerre mondiale.

Production [modifier]

Ce fusil à verrou rotatif, à fût et garde-main longs, à crosse semi-droite, doté chargeur de 10 coups en .303 British fut produit à plus de 6 millions d'exemplaires en Angleterre jusqu'en 1943, en Australie jusqu'en 1955 et en Inde jusque vers 1960. Il fut simplifié vers 1915 (Lee-Enfield Mk III*) et fut rebaptisé en 1926 N°1 Mk 3. Les britanniques ont produits deux variantes mineures (Mk V et Mk VI) préfigurant le N°4. Les modèles indiens comportent des différences infimes.

Diffusion [modifier]

Données numériques [modifier]

  • Longueur : 1,13 m
  • Canon : 64 cm
  • Masse du fusil vide :4,05 kg
  • Munition : .303 British
  • Chargeur : 10 coups

14 février 2007

Beretta

L'intérieur du Beretta 92FS.La classe mais toujours tirant du 9mm

Publicité
1 2 3 > >>
Publicité
Publicité